Ce terme, cette pratique, ont réapparu dans les années 70 grâce aux lanceurs d’alerte René Dumond et Marc Dufumier. Un peu plus tard et aujourd’hui pleinement, c’est Pierre Rabhi qui la popularise.
Au-delà d’une agriculture qui va de soi si l’humanisme, la solidarité et la coopération fondent notre condition, l’agroécologie questionne et transforme radicalement une société non viable, inégalitaire et destructrice, basée sur le mensonge et la peur.
Par nos actions nous promouvons une agroécologie étendue : "comment gouverne-t-on ?", "comment habitons-nous ?", "comment commerçons-nous ?", "quelle place accordons-nous à l’argent ?"... autant de questions sur le sens de notre civilisation dont la mutation ne semble possible qu’au travers de crises globales majeures. Nous prenons les devants...